Magasins pris dʹassaut, ruptures de stock de certains rayons, rues désertes. La crise sanitaire du covid-19 nous a subitement projetés et amenés à vivre dans un monde parallèle, digne d’une science-fiction. La fiction a-t-elle dépassé la réalité?
Marc Atallah, maître d’enseignement et de recherche à la Faculté des Lettres de l’UNIL, intervient en tant qu’invité « fil rouge » de l’émission estivale « Un Drôle d’été » de la RTS – La Première.
]]>Le week-end dernier à Zurich, une personne a contaminé cinq individus dans une boîte de nuit et imposé une mise en quarantaine à 300 personnes. Un cas dit de « super-propagation ». Mais qui sont ces super-propagateurs qui infectent beaucoup de personnes ?
]]>Depuis le début de la pandémie de Covid-19, la manière d’organiser et de penser la société s’est beaucoup appuyée sur une rhétorique de guerre. Pourquoi ce vocabulaire ? Est-ce pour mobiliser la société, montrer lʹurgence, faire obéir ?
Gianni Haver, Professeur associé à la Faculté des sciences sociales et politiques de l’université de Lausanne, était l’invité de l’émission du 12 juin 2020 de la RTS Tribu.
La crise du Coronavirus engendre un surplus de déchets : masques, gants, emballages plastiques, etc. mais aussi une utilisation très importante de produits désinfectants pour les surfaces et de gel désinfectants pour les mains qui inquiète Nathalie Chèvre, écotoxicologue à l’Université de Lausanne.
Elle était l’invitée de l’émission du 9 juin 2020 de la RTS On en parle qui a traité de la question de l’impact de la COVID-19 sur l’environnement, que ce soit par les déchets jetés dans les toilettes (où, rappelons-le, seul le papier toilette doit y terminer sa triste mais serviable vie !) ou l’utilisation des désinfectants sur la qualité de l’eau.
Pour aller plus loin Le Conseil fédéral a adopté le 5 juin 2020 une série de mesures temporaires afin d’assouplir le droit de l’environnement et s’adapter à la situation actuelle. Sont concernées : les eaux usées, les produits désinfectants, la pollution de l’air, et les bisphénols.
Nathalie Chèvre est maître d’enseignement et de recherche à l’Université de Lausanne. Ecotoxicologue, elle travaille depuis plus de 20 ans sur le risque que présentent les substances chimiques (pesticides, médicaments,…) pour l’environnement.
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